Au Pain de Mon Grand Père

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Pas d'inscription demandéeÉvaluation du lieu : 4
Paris
Évaluation du lieu : 5
Madrid
Évaluation du lieu : 4
Long Beach, CA

A must try for this area. Just no coffee, so grab it to go, and do not head to the coffee shop across the way. You are better off finding somewhere else. We had a few pastries that I will post a bit later.

Évaluation du lieu : 4
Vancouver, Canada
Évaluation du lieu : 5
Denver, CO

Best baguette in Strasbourg, no contest. It is perhaps the most picturesque French bakery I’ve seen. Beats Paris. There, I said it, and I live in Paris!
I have fond memories from both:
1 ) Waking at the crack of dawn to walk through the quiet city-​center to this boulangerie for a baguette, fresh out of the rotating brick oven.
2 ) Staying out until 5 am partying at the nearby Café des Anges or Le Living Room, and wandering over for a quick hangover prevention pastry.

Évaluation du lieu : 5
Newmarket, Royaume-Uni

Tout simplement le meilleur boulanger de Strasbourg. Les pains sont tous excellents !
Par contre pour les viennoiseries, rien de foufou !

Évaluation du lieu : 5
Strasbourg

lorsque vous passerez à la Krutenau, allez dans cette boulangerie de Mon Grand Père, très belle etablissement décoré où l’on voit le four, j’adore la déco, et surtout le pain, les croissants et petits pains, ainsi que les patisseries.
les vendeuses sont acceuillantes et souriantes, j’ai beaucoup apprecié leur conseils, car je suis allergique à certains composant que l’on peut trouver ici ou là dans les préparations.
j’y retourne régulièrement, c’est une des meilleures boulangerie de Strasbourg, mais certainement LA meilleure du quartier Krutenau-​esplanade.

Évaluation du lieu : 4
Frontignan-de-Comminges, Haute-Garonne

Très bon pains, grand choix de pains et la qualité est au rendez-​vous. Après comme tout ce type de boulangerie les tarifs sont souvent un peu plus cher. Mais on a rien sans rien.

« Le premier sourire de la journée »


Précision : ses effectifs – qui compte douze à quatorze apprentis chaque année – vont encore aller croissant afin d’accompagner les ouvertures d’une poignée de nouvelles boutiques d’ici à 2022. L’une d’elles est prévue dès ce mois de novembre dans le quartier du Port-du-Rhin à Strasbourg et une seconde au printemps 2021 dans la friche Fischer à Schiltigheim. Cette montée en puissance n’occulte en rien « le caractère familial de son aventure », insiste Bruno Dinel. Tandis que son père garde un oeil sur les aspects financiers, lui passe quatre nuits par semaine à produire.

« Notre vrai patron, c’est le client », clame-t-il en relevant à ce sujet « le rôle important » des vendeuses et des vendeurs en boulangerie. « Ils sont le premier sourire de la journée », met-il par exemple en exergue avant de vanter « l’accueil, le petit mot qui va bien… »

Les atouts de l’artisanat

La Confédération Nationale de la Boulangerie- Pâtisserie Française (CNBPF) milite pour la reconnaissance des atouts de la boulangerie artisanale, à commencer par le fait que l’artisan boulanger « maîtrise totalement et personnellement toutes les étapes de la fabrication à la vente. Son expertise propre et sa personnalité conduisent à une offre unique et diversifiée qui permet d’éviter la standardisation de l’alimentation. »

De même, l’artisan boulanger « fait appel à des circuits courts favorables à l’environnement, crée des emplois locaux et contribue par l’apprentissage à la formation et à l’emploi des jeunes ».

Précision : la profession se féminise. Longtemps cantonnées à la vente, les représentantes de la gent féminine ont de plus en plus accès aux fournils. Et elles y excellent ! « Lors du Concours 2019 du meilleur jeune boulanger de France, deux femmes ont fini sur les deuxième et troisième places du podium », se félicite Dominique Anract.

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« Le pain doit rester un produit gastronomique accessible à tous »

Ancien comptable, Patrick Dinel ouvre en décembre 2002 une boulangerie dans le quartier strasbourgeois de la Krutenau qu’il anime dès lors avec un salarié au fournil et deux vendeuses. Problème : son boulanger quitte la région au bout de neuf mois. « A l’époque, je travaillais comme sommelier à Monaco quand mon père m’a proposé de rentrer l’aider. A 19 ans, je ne risquais rien d’essayer. Au pire, je reprenais vite mes activités d’avant. Je lui ai donc dit “banco” », se souvient Bruno Dinel.

Un an plus tard à peine, le jeune homme obtient un CAP boulangerie en candidat libre avant de décrocher en 2006 un brevet professionnel et un brevet de maîtrise… Puis le titre de vice-champion d’Europe de la boulangerie en 2007 et celui de champion du monde des jeunes créateurs de 2008… Ou encore de battre le record du monde de la plus longue tartine en 2016 et celui du plus grand croque-monsieur en 2018 !